Artillery in Canada (6) Québec: Montréal, HMCS Donnacona, Fort de l'Île Sainte-Hélène, Mont-St-Hilaire
The aim of this website is to locate, identify and document every historical piece of artillery preserved in Canada. Many contributors have assisted in the hunt for these guns to provide and update the data found on these web pages. Photos are by the author unless otherwise credited. Any errors found here are by the author, and any additions, corrections or amendments to this list of Guns and Artillery in Canada would be most welcome and may be e-mailed to the author at hskaarup@rogers.com.
For all official data concerning the Royal Regiment of Canadian Artillery, please click on the link to their website:
The Royal Regiment of Canadian Artillery
Note: Back in the day, artillery in Canada was referred to by its radio call sign "Sheldrake". It is now referred to by its "Golf" call sign. (Acorn sends)
Le but de ce site Web est de localiser, d'identifier et de documenter chaque pièce d'artillerie historique conservée au Canada. De nombreux contributeurs ont aidé à la recherche de ces armes à feu pour fournir et mettre à jour les données trouvées sur ces pages Web. Les photos sont de l'auteur, sauf indication contraire. Toute erreur trouvée ici est de l'auteur, et tout ajout, correction ou amendement à cette liste d'armes à feu et d'artillerie au Canada serait le bienvenu et peut être envoyé par courriel à l'auteur à hskaarup@rogers.com.
Pour toutes les données officielles concernant le Régiment royal de l'Artillerie canadienne, veuillez cliquer sur le lien vers leur site Web: du Régiment royal de l'Artillerie canadienne.
Remarque: À l'époque, l'artillerie au Canada était désignée par son indicatif d'appel radio «Sheldrake». Il est maintenant désigné par son indicatif d'appel "Golf". (Acorn envoie)Une traduction au français pour l'information technique présente serait grandement apprécié. Vos corrections, changements et suggestions sont les bienvenus, et peuvent être envoyés au hskaarup@rogers.com.
The Citadel of Montréal was a former fortress used to defend the city. It was located at what is now rue Notre-Dame between rue Bonsecour and rue Berri. Smaller than the one at Quebec City, the Citadel of Montreal was built by the French in 1690 to replace the 1658 redoubt at Point-à Callière. Its construction included a barrack structure surrounded by wood stakes palisade and it was located on a hill along the city's fortification wall. A cannon battery was added in 1723. The fort was demolished by the British in 1821 to allow for the extension of Notre-Dame Street.
La Citadelle de Montréal était une ancienne forteresse servant à défendre la ville. Il était situé dans l'actuelle rue Notre-Dame entre la rue Bonsecour et la rue Berri. Plus petite que celle de Québec, la Citadelle de Montréal a été construite par les Français en 1690 pour remplacer la redoute de 1658 de Point-à-Callière. Sa construction comprenait une structure de caserne entourée d'une palissade en pieux de bois et elle était située sur une colline le long du mur de fortification de la ville. Une batterie de canons est ajoutée en 1723. Le fort est démoli par les Britanniques en 1821 pour permettre le prolongement de la rue Notre-Dame.
Montréal, Fusiliers Mont-Royal
(Réjean Montmarquet Photo)
Cast iron32-pounder 17-cwt smoothbore muzzleloading Carronade with a Blomefieldpatternbreeching ring, weight 17-3-2 (1,990 lbs), CARRON, mounted on a concretenaval gun carriage in front of the Fusiliers Mont-Royal Armoury at 3721 HenriJulien Avenue, No. 1 of 2.
Carronade en fonte à chargement par labouche à âme lisse de 32 livres de 17 quintaux avecanneau de culasse à motifBlomefield, poids 17-3-2 (1990 lb), CARRON, montée sur un chariotde canon naval en concrete devant le manège militairedes Fusiliers Mont-Royalau 3721 avenue Henri Julien, n ° 1 sur 2.
(Réjean Montmarquet Photo)
Cast iron32-pounder 17-cwt smoothbore muzzleloading Carronade with a Blomefield patternbreeching ring, weight 17-1-0 (1,932 lbs), CARRON, mounted on a concretenaval gun carriage in front of the Fusiliers Mont-Royal Armoury at 3721HenriJulien Avenue, No. 2 of 2
Carronadeen fonte à chargement par labouche à âme lisse de 32 livres de 17 quintaux avecanneau de culasse à motif Blomefield, poids 17-3-2 (1990 lb), CARRON, montée sur un chariotde canon naval en concrete devant le manège militairedes Fusiliers Mont-Royalau 3721 avenue Henri Julien, n ° 2 sur 2.
Montréal, 2nd FieldArtillery Regiment, RCA / 2e Régiment d’artillerie de campagne, ARC
2e ARC is a Royal Canadian Artillery reserveregiment is in Montréal and shares its headquarters with The Royal Canadian Hussars (Montréal) at the Côte-des-Neiges Armory. Although there had been temporary volunteer artillery units formed in Montréal as early as 1828, the regiment has its origin in the 3rd Montréal Battery formed in 1855 because of the departure of British regular troops for the Crimean War and the passage of the Militia Act of 1855. Militia forces, including the five field batteries formed, would for the first time be maintained at public expense. In 1856 the Battalion of Montréal Artillery was formed and in 1895 it was renamed the 2nd ”Montréal” Regiment, RCA. The 2nd Field Regiment reformed in 1966 with initially two and then three batteries, the 7th, 50th, and 66th FieldBatteries, each perpetuating a different regiment of the post-war artillery in Montréal. Côte-des-Neiges Armouries.
Le 2e ARC est un régiment de réserve de l’Artillerie royale canadienne. Il est situé à Montréal et partage son siège social avec The Royal Canadian Hussars (Montréal) au manège militaire Côte-des-Neiges. Bien qu’il y ait eu des unités d’artillerie volontaires temporaires formées à Montréal dès 1828, le régiment trouve son origine dans la 3e batterie de Montréal formée en 1855 à la suite du départ des troupes régulières britanniques pour la guerre de Crimée et de l’adoption de l’Acte de la milice de 1855. Les forces de la milice, y compris les cinqbatteries de campagne formées, seraient pour la première fois entretenues aux frais de l’État. En 1856, le bataillon d’artillerie de Montréal est formé et en 1895, il est rebaptisé 2e régiment “Montréal”, RCA. Le 2e régiment decampagne se reforma en 1966 avec d’abord deux puis trois batteries, les 7e, 50eet 66e batteries de campagne, chacune perpétuant un régiment différent d’artillerie d’après-guerre à Montréal. Manège militaire deCôte-des-Neiges.
(Author Photos)
German First World War 17-cm mittlerer Minenwerfer, (17-cm mMW), (Serial Nr. 6219),1917. This trench mortar was captured on 8 August 1918 by the 16th Battalion13th (Canadian Scottish), 3rd Infantry Brigade, 1stCanadian Division, Canadian Expeditionary Force (CEF), near Aubercourt,France. On display outside the 3ebatterie d’artillerie de Montréal Armouries, 4185 De la Côte-des-Neiges Ch.
Mittlerer Minenwerfer 17 cm allemand PremièreGuerre mondiale, (17 cm mMW), (Serial Nr. 6219), 1917. Ce mortier de tranchée aété capturé le 8 août 1918 par le 16e bataillon 13e (Canadian Scottish), 3ebrigade d’infanterie, 1er Division canadienne, Corps expéditionnaire canadien (CEC), près d’Aubercourt, France.Exposé à l’extérieur du manège militaire de la 3e batterie d’artilleriede Montréal, 4185, chemin De la Côte-des-Neiges.
25-pounderC Mk. 2 QF Field Gun with No. 9 circular firing platform, barrel highlypolished and on a stand in a display cabinet inside the armouries.
(Réjean Montmarquet Photo)
Canon de campagne QF de 25 livres C Mk.2, avec plateforme de tircirculaire n ° 9, canon hautement poli et sur un support dans une vitrine àl’intérieur des arsenaux.
25-pounderC Mk. 2 QF Field Gun with No. 9 circular firing platform, with limber and FAT,2nd Field RCA, 3e batterie d’artillerie de Montréalre-enactment group.
Canon de campagne QF de 25 livres C Mk.2, avec plateforme de tircirculaire n° 9, avec avant-train et FAT, 2nd Field RCA.
25-pounderC Mk. 2 QF Field Gun with No. 9 circular firing platform, brought to Canadafrom Ireland, 2nd Field RCA.
Canon de campagne QF de 25 livres C Mk.2, avec plateforme de tircirculaire n ° 9, amené au Canada depuis l’Irlande, 2nd Field RCA.
155-mm C1 (M1A2) Medium Howitzer on an M1A2 Carriage, also known as M114, manufactured at Sorel Industries Limited in Québec, Queen Elizabeth II cypher, broad arrowmark. This gun is on display outside the 3e batterie d’artillerie de Montréal Armoury.
3e Batterie d’artillerie de Montréal, refers to the original 3rd Montréal Field Battery of Artillery, now the 7th Bty of the 2nd Field ArtilleryRegiment in Montréal, Côte des Neiges Armoury.
(Author Photos)
155-mm C1 (M1A2) Medium Howitzer on M1A2 Carriage, aka M114, manufactured at Sorel Industries Limited in Quebec, Queen Elizabeth II cypher. This gun is on display outside the 3e batterie d’artillerie de Montréal Armoury.
3e Batterie d’artillerie de Montréal, refers to the original 3rd Montreal Field Battery of Artillery, now the 7th Bty of the 2nd Field Artillery Regiment in Montréal, Côte des neiges Armoury.
Obusier moyen C1 (M1A2) de 155 mm sur chariot M1A2,aussi connu sous le nom M114, fabriqué chez Sorel Industries Limited auQuébec, armoirie du reine Elizabeth II, marque de flèche large. Cette arme est exposée à l’extérieur du manègemilitaire de la 3e batterie d’artillerie de Montréal.
3e Batterie d’artillerie de Montréal, fait référence à la 3e Batterie d’artillerie de campagne de Montréal, maintenant le 7e Bty du 2e Régiment d’artillerie de campagne à Montréal, manège militaire de la Côte des neiges.
(Normand Roberge Photos)
40-mm Bofors Light Anti-Aircraft Gun.
Canon anti-aérien léger Bofors de 40 mm.
Montréal, HMCS Donnacona
(LCdr Geoff Hamilton Photos)
Bronze Lyle type Smoothbore Muzzleloading Gun (2.5-inch bore), weight and maker unknown, mounted on a wood naval gun carriage, 2-inch bore (a 1.9-inch ball is 1 lb).
This gun is on display inside the ship’s drill hall at 3525 St-Jacques Street. It was used to fire life lines from ship or shore. Light-weight rope was shot out to a wreck after it had been carefully wound on a rope-board so it would uncoil without snagging. The crews would then use this rope to haul out the heavier lines which actually carried the breeches buoy. The survivors would brought ashore or to the tugboat in a breeches buoy, which was a pair of canvas pants sewed onto a life-preserver. These line guns are used primarily for shore based rescue operations. The shooter would fire, aiming over the victims head and then pull the line within reach of the victim. They are also useful for rescuing victims that have fallen through the ice, or are stranded on a cliff or burning building. Boats in distress need larger lines. Lyle guns were designed to throw projectiles weighing approximately 15 pounds, carrying heavier rope over 1000 feet. Getting this equipment close to a wreck would have been difficult, given the likelihood the conditions that caused the wreck would still have been present.
Canon à chargement par balle de type Lyle en bronze(alésage de 2,5 pouces), poids et fabricant inconnus, monté sur un chariot decanon naval en bois, alésage de 2 pouces (une balle de 1,9 pouce pèse 1 lb).
Ce canon est exposé à l’intérieur de la salle d’exercice du navire au 3525, rue St-Jacques. Il était utilisé pour tirer des lignes de sauvetage depuis le bateau ou lerivage. Une corde légère a été projetée sur une épave après avoir été soigneusement enroulée sur un cordage pour qu’elle se déroule sans accroc. Les équipages utilisaient alors cette corde pour tirer les lignes les plus lourdes qui portaient en fait la bouée de culotte. Les survivants étaient ramenés à terre ou au remorqueur dans une bouée culotte, qui était une paire de pantalonsde toile cousus sur un gilet de sauvetage. Ces canons de ligne sont principalement utilisés pour les opérations de sauvetage à terre. Le tireurtirait, visant au-dessus de la tête de la victime, puis tirait la ligne àportée de la victime.
Ils sont également utiles pour secourir les victimes qui sont tombées à travers laglace ou sont bloquées sur une falaise ou un bâtiment en feu. Les bateaux en détresse ont besoin de lignes plus larges. Les canons Lyle ont été conçus pourlancer des projectiles pesant environ 15 livres, transportant une corde plus lourde de plus de 1000 pieds. Il aurait été difficile de rapprocher cetéquipement d’une épave, étant donné la probabilité que les conditions à l’origine de l’épave soient toujours présentes.
Montréal, La Tour du Souvenir
Montréal, Old Port Clock Tower / Quai de l'Horloge
(Pierre Deschenes Photos)
(Réjean Montmarquet Photos)
4.-inch QF Mk. III Naval Gun, mounted on an iron pivot, No. 1 at La Tour du Souvenir near Alexandra Pier (Originally Victoria Pier). Inscription on the cascabel : Q.F. 4 In. III, N, R.G.F., 1904, No 285.
Canon navale de 4 pouces QF Mk. III, monté sur un pivot en fer, n ° 1 à La Tour du Souvenir près de la jetée Alexandra (à l’origine Victoria Pier). Inscription sur la culasse : Q.F. 4 In. III, N, R.G.F., 1904, No 285.
(Réjean Montmarquet Photos)
4.-inch QF Mk. III Naval Gun, mounted on aniron pivot, No. 2 at La Tour du Souvenir near Alexandra Pier (Originally Victoria Pier). Inscription on the cascabel : Q.F. 4 In. III, N, R.G.F., 1904, No 242.
Canon navale de 4 pouces QF Mk. III, monté sur un pivot en fer, n° 2 à La Tour du Souvenir près de la jetée Alexandra (à l’origine Victoria Pier). Inscription sur la culasse : Q.F. 4 In. III, N, R.G.F., 1904, No 242.
Montréal, Isle Ste-Hélène, Fort-Ste-Hélène-Montréal
(Jean Gagnon Photo)
Blomefield Cast Iron 24-pounder 50-cwt Smoothbore Muzzleloading Gun, mounted on an iron garrison carriage.
Blomefield 24-livres 50-cwt canon à chargement par la bouche à alésage lisse, monté sur un chariot de garnison en fer. Ce type particulier d'affût et de platte-forme tout en métal fut utilisé en temps de paix tout au cours du 19 ème siècle. En cas de conflits, les affûts de bois remplaçaient ceux de fer. Bien que moins résistants aux intempéries, les affûts de bois résistaient aux éclatements.
Russian Cast Iron probable 24-pounder Smoothbore Muzzleloading Gun, weight and Serial No. unknown, by Foullon at Alexandrovski, with double-headed Eagle, Crimean War trophy.
Fonte russe probable 24 livres à chargement par la bouche à alésage lisse, poids et numéro de série inconnus, par Foullon à Alexandrovski, avec un Eagle à deux têtes, trophée de la guerre de Crimée.
(Mike B Photo)
(Jean Gagnon Photo)
At least ten Bronze and Cast Iron guns and two large Cast Iron Mortars are on display on the grounds of Fort Stewart.
Au moins dix canons en bronze et en fonte et deux gros mortiers en fonte sont exposés sur le terrain de Fort Stewart.
(Jean Gagnon Photos)
Bronze 12-pounder 18-cwt Smoothbore Muzzleloading Gun, King George III cypher.
Canon à chargement par la bouche à âme lisse 18 cw de 12 livres en bronze, chiffre King George III.
(Jean Gagnon Photos)
Bronze 24-pounder Smoothbore Muzzleloading Gun, dolphin carrying handles.
Canon à chargement par la bouche à âme lisse18 quintaux 12 livres en bronze, armoirie du roi George 3.
(Jean Gagnon Photo)
Cast Iron 10-inch 18-cwt Smoothbore Muzzleloading Land Service Mortar with dolphin handles, one broken.
Cast Iron 10-inch 18-cwt Smoothbore Muzzleloading Land Service Mortar.
Mortier de service terrestre à chargement par muzzleuse à alésage lisse de 10 po 18 cw en fonte avec poignées de dauphin,
une cassée.
Mortier de service terrestre à alésage lisse de 10 po 18 cwt en fonte.
(Jean Gagnon Photo)
(André Berdais Photo)
Right hand row of six cast Iron guns and two large cast iron mortars still in place in March 2024, on the grounds of Fort Stewart.
André Berdais Photo)
Left hand row of one bronze and 9 cast Iron guns in place in March 2024, on the grounds of Fort Stewart.
(André Berdais Photo)
Blomefield Smoothbore Muzzleloading Gun mounted on a concrete stand.
(Kay Smith Photo)
Blomefield Cast Iron 32-pounder 56-cwt Smoothbore Muzzleloading Gun, unmounted.
(Library and Archives Canada Photo, MIKAN No. 3193620)
This appears to be the same gun. Found in the LAC files, it is described as a "test proof of the first wrought-iron gun tube made in Canada", E.E. Gilbert & Sons, Canada Engine Works, St. Helen's Island, Montreal, Quebec, 30 Aug 1879. Stephen Summerfield not that the gun appears to be fitted with a bore extender so that the gun barrel wall is not damaged on discharge. Nicholas Hall noted this Blomefield contains the visible wrought iron tube, perhaps comparable to the British Palliser conversion for cast-iron guns.
Il semble que ce soit le même pistolet. Trouvé dans les dossiers de BAC, il est décrit comme une "preuve d'essai du premier tube de pistolet en fer forgé fabriqué au Canada", E.E. Gilbert & Sons, Canada Engine Works, St. Helen's Island, Montréal, Québec, 30 août 1879. Stephen Summerfield not que le pistolet semble être équipé d'un prolongateur d'alésage afin que la paroi du canon du pistolet ne soit pas endommagée lors de la décharge. Nicholas Hall a noté que ce Blomefield contient le tube en fer forgé visible, peut-être comparable à la conversion britannique Palliser pour les pistolets en fonte.
Cast Iron possible 32-pounder Smoothbore Muzzleloading Gun with Millar pattern breeching ring, unmounted.
Cast Iron 32-pounder 17-cwt Smoothbore Muzzleloading Carronade with a Blomefield pattern breeching ring, unmounted.
Cast Iron 32-pounder 17-cwt Smoothbore Muzzleloading Carronade with a Blomefield pattern breeching ring, unmounted.
Blomefield Cast Iron 24-pounder 50-cwt Smoothbore Muzzleloading Gun, unmounted.
Cast Iron possible 6-pounder Smoothbore Muzzleloading Gun, unmounted.
Blomefield Cast Iron 32 livres 56-cwt Smoothbore Muzzleloading Gun, non monté.
Fonte possible canon à chargement par la bouche lisse de 32 livres avec anneau de culasse modèle Millar, non monté.
Carronade à chargement par la bouche à alésage lisse de 32 livres 17 cwt avec anneau de culasse à motif Blomefield,
non montée.
Carronade à chargement par la bouche à alésage lisse de 32 livres 17 cwt avec anneau de culasse à motif Blomefield,
non montée.
Canon à chargement par la bouche à alésage lisse de 24 livres de 50 cwt en fonte Blomefield, non monté.
Fonte possible canon à chargement par la bouche lisse de 6 livres, non monté.
Montréal, Chateau Ramsay
(Library and Archives Canada Photo, MIKAN No. 4312503)
Guns and Mortars, Chateau Ramsay, Montreal, 1955.
Armes à feu et mortiers, Château Ramsay, Montréal, 1955.
Montréal, Mont Royal Cemetery
(Author Photos)
(Réjean Montmarquet Photos)
9-pounder 8-cwt Muzzleloading Rifle, weight 8-1-8 (932 lbs), (RGF No. 637, 1874) on the left trunion, mounted on a c1840 field carriage, No. 1 on the North side of the Section Militaire du cimetière Mont-Royal, on a hill overlooking the military gravestones.
Canon rayé à chargement par la bouche de 9 livres 8 quintaux, poids 8-1-8 (932 lbs), sur le tourillon gauche RGF no 637, 1874, monté sur un chariot de campagne circa 1840, n° 1 du côté nord de la section militaire du cimetière Mont-Royal, sur une colline surplombant les pierres tombales militaires.
À l’automne 1873, le lieutenant-colonel (plus tard le major-général sir) George A. French, le premier commandant de la batterie d’artillerie de garnison, est nommé premier commissaire de la Police à cheval du Nord-Ouest. Avec 32 artilleurs des batteries A et B, il a formé le noyau de la nouvelle force de police.
En février 1874, le commissaire de la Police à cheval du Nord-Ouest, George French, se rend de Lower Fort Garry en Ontariopour rencontrer le gouverneur général, Lord Dufferin. Répondant immédiatement aux inquiétudes des Français concernant le déclenchement possible d’un conflitarmé à Fort Whoop-Up, Lord Dufferin a câblé l’Angleterre pour deux mortiers de 16 livres et deux canons de 9 livres 8-cwt. Ces armes seraient utilisées par des membres de la Police à cheval du Nord-Ouest. (RCAM)
En 1879, il y avait seize batteries d’artillerie au Canada. Jusqu’en 1871, à uneexception près, ces batteries étaient armées de pièces de campagne SBML Brass comprenanttrois canons et un obusier pour chaque batterie. À partir de ce moment-là,toutes les batteries étaient armées du canon RML de 9 livres et de 8 quintauxavec des “ chariots modernes en fer forgé avec des roues Madras de laWoolwich Royal Gun et des usines de transport ”. À cette époque, il yavait 60 canons RML de 9 livres de 8 quintaux en service dans la milicecanadienne.
Les canons RML de 9 livres et de 8 quintaux ont étéutilisés par les artilleurs canadiens pendant plus de 25 ans. Il y a au moinsdix-sept canons RML de 9 livres et de 8 quintaux exposés au Canada.
Le canon rayé à chargement par la bouche de 9 livres et 8 quintaux a été développé par un officier britannique, William Palliser. D’une portée de 3 300 mètres, cecanon lançait un obus muni de crampons qui tenaient et glissaient le long desrainures de l’alésage du canon.
Le 9 livres fut le premier canon utilisé par le Royal Regiment of Canadian Artillery en action. La batterie “ A “a utilisé six canons de ce type lors desbatailles de Fish Creek et de Batoche pendant la rébellion de Riel, en 1885,dans la campagne du Nord-Ouest. Le 9 livres est arrivé en 1873 et au cours dela décennie, il a été largement utilisé dans tout le régiment.
(Author Photos)
(Réjean Montmarquet Photos)
9-pounder 8-cwt Muzzleloading Rifle, weight 8-1-9 (933 lbs), (RGF No. 336, 1872) on the left trunnion, mounted on a 1875 field carriage, No. 2 on the South side of the Section Militaire du cimetière Mont-Royal, on a hill overlooking the military gravestones.
Canon rayé à chargement par la bouche de 9 livres 8 quintaux, poids 8-1-9 (933 lbs), sur le tourillon gauche RGF no 336, 1872, monté sur un chariot de campagne 1875, n° 2 du côté sud de la section militaire du cimetière Mont-Royal, sur une colline surplombant les pierres tombales militaires.
(Author Photos)
Cast Iron 12-pounder 6-cwt Smoothbore Muzzleloading Carronade with a Blomefield pattern breeching ring, weight stamp 6-1-26 (726 lbs), mounted on a concrete stand, inside the iron fence next to the military gravestones.
Carronade à chargement par la bouche lisse de 12 livres de 6 cwt en fonte avec anneau de culasse à motif Blomefield, poinçon de poids 6-1-26 (726 lb), montée sur un support en béton, à l'intérieur de la clôture en fer à côté des pierres tombales militaires.
(Jean-Philippe Boulet Photo)
9-pounder 8-cwt Muzzleloading Rifle, weight unknown, RGF No. unknown, mounted on a ca. 1840 field carriage. This gun stands inside the Cemetery Gates at the Pointe-Claire le Champ d’honneur national.
Fusil à chargement silencieux de 9 livres 8 cwt, poids inconnu, RGF n ° inconnu, monté sur un ca. 1840 chariot de campagne. Cette arme se trouve à l'intérieur de Pointe-Claire le Champ d’honneur national.
Montréal, Place du Canada
(tatie Photos)
(Author Photos)
(Réjean Montmarquet Photos)
25-pounder C Mk. 2 QF Field Gun with No. 9 circular firing platform, Place du Canada. A bronze plaque mounted on the gun states: “This 25-pounder QF Field Gun was presented to the city by the Montreal Units of the Royal Regiment of Canadian Artillery to commemorate the service of the Regiment in time of War. 13 October 1962”.
25 livres C Mk. 2 Canon de campagne QF avec plateforme de tir circulaire n ° 9, Place du Canada. Une plaque de bronze montée sur le canon indique: «Ce canon de campagne QF de 25 livres a été présenté à la ville par les unités montréalaises du Régiment royal de l'Artillerie canadienne pour commémorer le service du régiment en temps de guerre. 13 octobre 1962 ».
Place du Canada, Montréal
(Réjean Montmarquet Photo)
Russian Cast Iron 30-pounder SBML Gun, weight 252 pood (252 X 36.11 = 9,099. 72 lbs), (30 lb, 252 pood, 1802) on the left trunnion, (Serial No. 8741, Alexandrovski, Gascoigne) on the right trunnion, forged by Gascoigne at Alexandrovski with a double-headed Eagle, 31 on the button. This Crimean War trophy is unmounted, No. 1 of 2 at Place du Canada.
Canon enfonte à chargement par la bouche de 30 livres en fonte russe, poids 252 poud (252 X 36,11 = 9 099. 72 lbs), (30 lb, 252 poud, 1802) sur le tourillon gauche,(N° de série 8741, Alexandrovski, Gascoigne) sur la droite tourillon, forgé parGascoigne à Alexandrovski avec Aigle à deux têtes, 31 au bouton. Ce trophée dela guerre de Crimée est démonté, n° 1 sur 2 à la Place du Canada.
(Réjean Montmarquet Photo)
Russian Cast Iron 30-pounder SBML Gun, weight 252 pood (252 X 36.11 = 9,099. 72 lbs),(30 lb, 252 pood, 1802) on the left trunnion, (Serial No. 8486, Alexandrovski, Gascoigne) on the right trunnion, forged by Gascoigne at Alexandrovski with a double-headed Eagle, 31 on the button. This Crimean War trophy is unmounted, No. 2 of 2 at Place du Canada.
Canon enfonte à chargement par la bouche de 30 livres en fonte russe, poids 252 poud (252 X 36,11 = 9 099. 72 lbs), (30 lb, 252 poud, 1802) sur le tourillon gauche,(N° de série 8486, Alexandrovski, Gascoigne) sur la droite tourillon, forgé par Gascoigne à Alexandrovski avec Aigle à deux têtes, 31 au bouton. Ce trophée dela guerre de Crimée est démonté, n° 2 sur 2 à la Place du Canada.
Entre 1854 et 1856, la guerre de Crimée est surtout un conflit d’influence entre les grandes puissances européennes de l’époque. Provenant de l’Angleterre, le 39e Régiment, qui est en poste à Montréal, participe à cette guerre et revient triomphalement au pays en juillet 1856. Pour souligner la bravoure de ses soldats, la reine Victoria offre aux régiments combattants des canons saisis pendant les affrontements. À Montréal, deux sont d’abord exposés dans le Vieux-Montréal à proximité du cantonnement britannique. Selon les sources, ils sont ensuite déplacés au square Dominion à la fin des années 1870, 1889 ou 18922.
Capturés lors de la bataille de Sébastopol en Ukraine, ces artéfacts sont des pièces d’artillerie authentiques se composant d’un fût et d’une base. À l’origine sculptée dans le bois, la base est aujourd’hui remplacée par une réplique en ciment. Les artéfacts sont fabriqués d’un alliage de bronze et de métal. Il s’agit des premiers objets à embellir le square.
Leur matériau, leurs formes anciennes et les aigles gravés du tsar de la Russie impériale sur leur fût inscrivent ces canons dans le passé. Leur présence témoigne des armes de guerre au XIXe siècle et évoque la dure réalité du soldat lors des conflits. Les canons rappellent aussi l’état colonial d’antan du pays.
Au tournant du XXe siècle, les canons attirent les touristes américains qui les aperçoivent en sortant de la nouvelle gare Windsor. Ils s’empressent de les photographier, car le bruit court aux États-Unis qu’ils ont servi à repousser l’invasion américaine.
Montréal, CFB Montréal, Longue Point Garrison, Royal Canadian Ordnance Corps (RCOC) Museum, 6560 Hochelaga Street. Details for the artillery preserved with the RCOC Museum may be found on a separate page on this website.
Les détails de l'artillerie conservée au Musée du RCOC se trouvent sur une page distincte de ce site Web.
Montréal, Westmount Park
(Normand Roberge Photos)
Bronze 12-pounder 18-cwt Smoothbore Muzzleloading Gun, 1810, H.J. King, (Serial No. 769), turned over by the British to the Dominion of Canada government as a gift in 1870. General John Pitt, 2nd Earl of Chatham, Master General of the Ordnance 1801–1806 and 1807–1810, above King George III cypher on the barrel. No. 1. These two guns have now been fully restored, due to a financial contribution of the City of Westmount and the fine work of volunteers from the 3rd Montreal Field Artillery Battery, a re-enactment troupe.
Bronze 12-livres 18-cwt Smoothbore Muzzleloading Gun, 1810, HJ King, (numéro de série 769), remis par les Britanniques au gouvernement du Canada en 1870. Général John Pitt, 2e comte de Chatham, maître Général de l'Ordnance 1801-1806 et 1807-1810, au-dessus du chiffre du roi George III sur le canon. Non. 1. Ces deux canons ont maintenant été entièrement restaurés grâce à une contribution financière de la Ville de Westmount et à l'excellent travail de bénévoles de la 3e Batterie d'artillerie de campagne de Montréal, une troupe de reconstitution.
(Patrick Martin, Westmount Battery Photo)
3rd Montreal Field Artillery Battery firing one to the two bronze 12-pounders.
3e Batterie d'artillerie de campagne de Montréal tirant un sur les deux bronze de 12 livres.
(Normand Roberge Photos)
Bronze 12-pounder 18-cwt Smoothbore Muzzleloading Gun, 1810, H.J. King, (Serial No. 770), General John Pitt, 2nd Earl of Chatham, Master General of the Ordnance 1801–1806 and 1807–1810, above King George III cypher on the barrel. Turned over by the British to the Dominion of Canada government as a gift in 1870. No. 2. Restored.
Bronze 12-pounder 18-cwt Smoothbore Muzzleloading Gun, 1810, HJ King, (n ° de série 770), le général John Pitt, 2e comte de Chatham, maître général de l'Ordnance 1801-1806 et 1807-1810, au-dessus du chiffre du roi George III sur le canon. Remis par les Britanniques au gouvernement du Dominion du Canada en cadeau en 1870. No. 2. Restauré.
Mont-St-Hilaire
German 24 cm schwere Flügelminenwerfer IKO (heavy mortar launcher) (24 cm sFIMW IKO), Quai de Mont-St-Hilaire.
The IKO was a smooth bore mortar that used separate loading propellant charges and projectiles. The IKO consisted of a steel tube that screwed into a swivel at the base of the firing platform. The rectangular platform was built from angle iron and had an axle that could be connected to two wooden-spoked steel-rimmed wheels for towing. There was a crescent-shaped rail with a jackscfrew at the front of the platform that controlled traverse and elevation. The firing platform was then placed on thick wooden timbers to absorb the recoil.
The IKO mortar was loaded by sliding a propellant charge down the muzzle of the mortar and then a percussion cap was screwed into the base. A four-finned mortar bomb was then slid down the tube and the mortar was fired by a lanyard that ignited the percussion cap and propellant. Both the IKO and Albrecht mortar used the same ammunition.
(Réjean Montmarquet Photo)
Mortier Allemand 24 cm schwere Flügelminenwerfer IKO (heavy mortar launcher) (24 cm sFIMW IKO), Quai de Mont-St-Hilaire.
L'IKO était un mortier à âme lisse qui utilisaitdes charges propulsives et des projectiles de chargement séparés. L'IKO secomposait d'un tube en acier qui se vissait dans un émerillon à la base de laplate-forme de tir. La plate-forme rectangulaire était construite en cornièreet avait un essieu qui pouvait être relié à deux roues à rayons en bois etjantes en acier pour le remorquage. Il y avait un rail en forme de croissantavec un vérin à vis à l'avant de la plate-forme qui contrôlait la traversée etl'élévation. La plate-forme de tir a ensuite été placée sur des poutres en boisépaisses pour absorber le recul.
Le mortier IKO a été chargé en faisant glisser unecharge propulsive le long de la bouche du mortier, puis une amorce à percussiona été vissée dans la base. Une bombe de mortier à quatre ailettes a ensuite étéglissée dans le tube et le mortier a été tiré par une longe qui a enflammé lacapsule de percussion et le propulseur. Les mortiers IKO et Albrechtutilisaient les mêmes munitions.